Casino Vence

La Coupole
La Gaude

ET LES MISTRALS GAGNANTS - de Anne-Dauphine Julliand - 2017 - France - 1h19
Critiques : 1 2 3

 

CINECHANGE

Le film est sous-titré pour les personnes sourdes et malentendantes

Avec la participation plusieurs médecins et en partenariat avec les associations JALMALV Côte d'Azur (Jusqu'A La Mort Accompagner La Vie) et Rencontres Africaines

-o-o- jeudi 1er
juin à 19h30

Ambre, Camille, Charles, Imad et Tugdual ont entre six et neuf ans. Ils vivent dans l'instant. Avec humour et surtout l'énergie optimiste de l'enfance, ils nous prennent par la main, nous entraînent dans leur monde et nous font partager leurs jeux, leurs joies, leurs rires, leurs rêves, leur maladie.  Avec beaucoup de sérénité et d'amour ces cinq petits bouts d'Homme nous montrent le chemin du bonheur. Un film à hauteur d'enfant, sur la vie tout simplement....

« [...] le film résout également le problème d'atteinte à la dignité et empêche toute sentiment de pitié malvenu chez le spectateur, privilégiant l'attachement. Le malade est une individu à part entière, pas seulement défini par le mauvais sort qui s'acharne sur lui mais par son caractère, par ses interactions sociales, ses passions... C'est un film qui tend l'oreille vers son individualité plutôt que sa souffrance, sans l'omettre pour autant.» par Manon Franken - Cinephilia
   

GLORY - de Kristina Grozeva, Petar Valchanov - 2017 - Bulgarie, Grèce - 1h41 - VOSTF (bulgare)
Valence 2017 : 3 Prix
Dublin 2017 : Prix du Meilleur Scénario
Les Arcs 2016 : 2 Prix
Gijon 2016 (Espagne) : 3 Prix
Arras 2016 : Grand Prix du Jury
Gand 2016 : Mention Spéciale du Jury
Hampton 2016 (USA) : Meilleur Film de Fiction
Golden Rose 2016 (Bulgarie) : 3 Prix
Aventura 2016 (Croatie) : 2 Prix
Skopje 2016 (Grèce) : Meilleur Film
Critiques : 1 2 3

dimanche 4 à 19h

et

mardi 6 à
18h30

-o-o-

Tsanko, un cantonnier d'une cinquantaine d'années, trouve des billets de banque sur la voie ferrée qu'il est chargé d'entretenir. Plutôt que de les garder, l'honnête homme préfère les rendre à l'Etat qui en signe de reconnaissance organise une cérémonie en son honneur et lui offre une montre... qui ne fonctionne pas...

« Après "The Lesson", Kristina Grozeva et Petar Valchanov reviennent en force avec une nouvelle parabole à l'ironie mordante, qui prend des allures de manifeste anticorruption. » par Alexis Duval – Les Fiches du Cinéma

« Les deux Bulgares ont l'humour rosse et le vitriol particulièrement efficace. Ils ont, visiblement, des comptes à régler avec leur pays, héritier d'une longue histoire de passivité [...]. Mais leur propos dépasse la Bulgarie : c'est le récit logique et fatal d'un cave qui, soudain, se rebiffe. D'un mouton enragé. » par Pierre Murat - Télérama
   
 

LA COLERE D'UN HOMME PATIENT (TARDE PARA LA IRA) - de Raül Arévalo - 2017 - Espagne - 1h32 - VOSTF (espagnol)
GOYA 2017 - Meilleur film, meilleure réalisation, meilleur scénario original
Critiques : 1 2 3

 

PREMIER LONG METRAGE

Interdit aux moins de 12 ans

-o-o- lundi 5
17h30 et 21h00

Un homme attend huit ans pour se venger d'un crime que tout le monde a oublié... 

«  Un thriller westernien hors du commun, et d'une maîtrise de la mise en scène étonnante, sans esbroufe, mais efficace, qui emporte l'adhésion. » par Jacky Bornet – Culturebox

« Le film ordonne ainsi une ahurissante escalade de séquences punitives. Dévoyées de leurs enjeux habituels, d'une fureur dilatée, atroce et bizarre, elles rappellent la violence surréaliste accolée à certains grands noms (les Coen, Peckinpah), mais contenue (et c'est aussi à cela que tient son charme) dans un thriller brut et sans prétention. » par Emily Barnett – Les Inrockuptibles

   
 

ADIEU MANDALAY (ZAI JIAN WA CHENG) - de Midi Z - 2017 - Birmanie - 1h48 - VOSTF (birman)
Amiens 2016 : Licorne d'Or – Grand Prix du Long métrage
Critiques : 1 2 3

 

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

N.B. Horaire du dimanche avancé, en raison des élections

dimanche 11 à 17h30

et

mardi 13 à
18h30

-o-o-

Liangqing et Guo, jeunes birmans, émigrent clandestinement en Thaïlande. Liangqing trouve un emploi de plonge dans un restaurant de Bangkok, Guo est embauché dans une usine textile. Sans papiers, leur quotidien est plus que précaire et si Guo veut gagner assez d'argent pour retourner en Birmanie, Liangqing est prête à tout pour obtenir un visa de travail et échapper à sa condition... 

« Le réalisme n'est pourtant qu'un ¬aspect de ce beau film, calme et maî¬trisé, discrètement romanesque et ouvertement tragique. Il s'agit, avant tout, de l'imbrication fatale entre le destin commun des clandestins et une histoire d'amour particulière. » par Louis Guichard – Télérama

« Midi Z a acquis une maturité de style qui laisse poindre l'émotion avec délicatesse [...]. » par Vincent Malausa – Cahiers du Cinéma

   

 

Pas de programmation Culture & Cinéma

- à La Gaude : les lundis 12 et 19 juin (congés annuels)

 

   
 

HAIR - de Milos Forman - 1979 - Etats-Unis - 2h01 - VOSTF (anglais)
Critiques : 1 

 

EN PRELUDE A LA FETE DE LA MUSIQUE
VERSION RESTAURE - 2017

N.B. Horaire avancé, en raison des élections

dimanche 18 à 17h30

Séance unique
-o-o-

Le jeune et naïf Claude, croyant en Dieu, fils d'un fermier patriote de province, visite New York avant d'être incorporé comme militaire et partir pour la guerre du Vietnam. En chemin, il se retrouve au milieu d'un happening de hippies dans Central Park et tombe immédiatement sous le charme de la belle Sheila...

« Une œuvre à la fois lumineuse et tragique, qui revisite l'insouciance et l'utopie hippies dans le contexte politique du Viêt Nam. Des décennies après, la flamme de "Hair" ne cesse de nous éclairer... » par Frédéric Mignard – àVoir àLire

« Plus qu'un film politique, "Hair" est aussi et avant tout une magnifique comédie musicale que l'on peut voir et revoir pour la qualité de ses chansons et de ses chorégraphies, que tout le monde connaît et reprends en cœur. » par Rémy Margage – Abus de Ciné

   

 

L'OPERA - de Jean-Stéphane Bron - 2017 - Suisse, France - 1h58
Valenciennes 2017 - Sélection Officielle 
Critiques : 1 2

 

EN PRELUDE A LA FETE DE LA MUSIQUE

mardi 20 à
21h00

Séance unique

 

Une saison dans les coulisses de L'Opéra de Paris. Passant de la danse à la musique, tour à tour ironique, léger et cruel, l'Opéra met en scène des passions humaines, et raconte des tranches de vie, au cœur d'une des plus prestigieuses institutions lyriques du monde... 

« "L'Opéra", c'est du grand cinéma parce que tout en imprimant son regard subjectif et ses choix de montage subtils, Bron a préservé la part pleinement vivante de l'organisme humain qui palpitait devant lui. » par Serge Kaganski – Les Inrockuptibles

« Un film rythmé, tour à tour ironique, grave ou léger. » par Marie Toutée – Les Fiches du Cinéma

   

Du dimanche 25 au mercredi 28 - Fête du Cinéma

   
 

EMILY DICKINSON, A QUIET PASSION (A QUIET PASSION) - de Terence Davies - 2017 - Royaume-Uni, Belgique - 2h04 - VOSTF (anglais)
Berlin 2016 - Sélection Officielle
Critiques : 1 2 3

 

FETE DU CINEMA

dimanche 25 à 19h

et

mardi 27 à 18h30

-o-o-

Nouvelle-Angleterre, XIXe siècle. Dans son pensionnat de jeunes filles de bonne famille, la jeune Emily Dickinson ne cesse de se rebeller contre les discours évangéliques qui y sont professés. Passionnée de poésie, Emily écrit nuit et jour dans l'espoir d'être publiée... Personnage mystérieux devenu mythique, Emily Dickinson est considérée comme l'un des plus grands poètes américains...

« Le cinéaste Terence Davies propose un récit sensible et bouleversant de la vie de la poétesse américaine. » par Thomas Sotinel – Le Monde

« Derrière ses beaux décors et ses beaux costumes, le film a pour lui de ne pas chercher à plaire [...] et de n'épargner ni son personnage ni son spectateur dans sa recherche de vérité. » par Nicolas Azalbert – Cahiers du Cinéma

   
 

ET AU MILIEU COULE UNE RIVIERE (A RIVER RUNS THROUGH IT) - de Robert Redford- 1993 - Etats-Unis - 2h03 - VOSTF (anglais)
Oscar 1993 de la Meilleure photo
Critiques : 1 

 

FETE DU CINEMA  - VERSION RESTAUREE - 2017

-o-o- 

lundi 26
18h00

Séance unique

L'histoire de deux frères, Norman et Paul Maclean, élevés au début du siècle sous le signe de la religion presbytérienne et de la pêche à la mouche, deux disciplines d'une égale rigueur qui façonneront leur vision du monde...

« Le rire, les larmes, l'amour de la nature et celui de la poésie, c'est tout cela qui a composé la vie de la famille Maclean. » par Claude-Marie Trémois - Télérama

« Avec cette chronique paisible et élégiaque, Robert Redford signe un classique instantané et révèle en même temps Brad Pitt. Une œuvre magistrale en état de grâce. » par Virgile Dumez – àVoir àLire

   
 

RETOUR A MONTAUK (RETURN TO MONTAUK) - de Volker Schlöndorff - 2017 - Allemagne, France, Irlande - 1h46 - VOSTF (anglais, allemand)
Berlin 2017 - Sélection Officielle
Critiques : 1 

 

FETE DU CINEMA

-o-o-

lundi 26
à 21h15

Séance unique

Il y a un amour dans la vie, que tu n'oublies jamais, peu importe à quel point tu essaies. L'écrivain Max Zorn arrive à New York pour promouvoir son dernier roman. Sa jeune femme Clara l'a précédé de quelques mois pour contribuer à la parution du livre aux Etats-Unis. Dans son roman, Max raconte l'échec d'une passion dans cette ville, il y a 17 ans. Presque par hasard, il revoit Rebecca, la femme en question. Originaire d'Allemagne de l'Est, elle est devenue entre temps une brillante avocate et vit depuis 20 ans à New York. Ils décident de passer encore une fois un weekend ensemble. C'est l'hiver à Montauk, le petit village de pêcheurs au bout de Long Island. Deux transats vides, face à l'océan. Ils attendent deux personnes qui s'étaient perdues pendant très longtemps. Maintenant ils reviennent à Montauk, plein d'espoir et de regrets sur une vie commune manquée...

« L'histoire d'un amour vieux de vingt ans qui remonte soudainement à la surface, et qui pose une question essentielle : qu'est-ce qui est vraiment important dans la vie d'une personne ? » par Sven Waskönig - Arte

« Pour rendre hommage à son ami l'écrivain Max Frisch, le grand cinéaste quitte à vrai dire tous ses sentiers habituels, délaissant le genre historico-politico-moral où il excelle pour un récit américain tout à fait contemporain adapté de la nouvelle "Montauk". » par Bénédicte Prot - Cineuropa

   

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