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La Coupole
La Gaude

BATTLE OF THE SEXES - de Jonathan Dayton, Valerie Faris - 2017 - Royaume-Uni, Etats-Unis - 2h02 - VOSTF (anglais)
Toronto 2017 - Présentations Spéciales
Critiques : 1  

dimanche 7 à 19h

et

mardi 9 à
18h30

-o-o-
1972. La championne de tennis Billie Jean King remporte trois titres du Grand Chelem. Mais loin de se satisfaire de son palmarès, elle s'engage dans un combat pour que les femmes soient aussi respectées que les hommes sur les courts de tennis. C'est alors que l'ancien numéro un mondial Bobby Riggs, profondément misogyne et provocateur, met Billie Jean au défi de l'affronter en match simple...

« S'il est un superbe divertissement sportif, "Battle of the Sexes" est surtout un pamphlet politique et féministe au message intemporel porté par un casting brillant. »
Par Alexandre Janowiak - Ecran Large

« Bref, comme on dit à Roland-Garros, service gagnant ! »
Par Samuel Douhaire - Télérama

   
 

UN HOMME INTEGRE (LERD) - de Mohammad Rasoulof - 2017 - Iran - 1h58 - VOSTF (farsi)
Cannes 2017 - Sélection Officielle - Prix Un Certain Regard
Sarlat 2017 - Sélection Tour du Monde
Critiques : 1 2 3 4 5

dimanche 14 à 19h

et

mardi 16 à
18h30

 
-o-o- 

Reza, installé en pleine nature avec sa femme et son fils, mène une vie retirée et se consacre à l'élevage de poissons d'eau douce.
Une compagnie privée qui a des visées sur son terrain est prête à tout pour le contraindre à vendre.
Mais peut-on lutter contre la corruption sans se salir les mains ?

« Mohammad Rasoulof fait preuve de courage avec "Un homme intègre", ce qui lui vaut aujourd'hui d'être privé de liberté dans ses déplacements et son travail de cinéaste, en raison de sa propre intégrité. Poignant. »
Par Jacky Bornet – Culturebox

« Filmer l'intégrité, sa rudesse pierreuse, sans que le personnage se transforme en insipide héraut du bien : tel est l'un des enjeux relevés haut la main par Mohammad Rasoulof. »
Par Anne Diatkine - Libération

   

THE FLORIDA PROJECT - de Sean Baker - 2017 - Etats-Unis - 1h51
Cannes 2017 - Quinzaine des Réalisateurs
Critiques : 1
-o-o- lundi 15
17h30 et 21h00

Moonee a 6 ans et un sacré caractère. Lâchée en toute liberté dans un motel de la banlieue de Disney World, elle y fait les 400 coups avec sa petite bande de gamins insolents. Ses incartades ne semblent pas trop inquiéter Halley, sa très jeune mère. En situation précaire comme tous les habitants du motel, celle-ci est en effet trop concentrée sur des plans plus ou moins honnêtes pour assurer leur quotidien...

« Sous ses allures de comédie enfantine pop, ce film de l'Américain Sean Baker distille lentement le poison d'une Amérique qui cache, sous la passion consensuelle du divertissement, l'aliénation de masses paupérisées et exclues du grand rêve. »
Par Jacques Mandelbaum – Le Monde 

« "The Florida Project" est indéniablement un des films les plus marquants de 2017. Avec son esthétique colorée, ses thématiques sociales, sa structure atypique et son casting d'enfer, il se place parmi ces oeuvres aussi indéfinissables que percutantes. »
Par Robin Uzan - Justfocus

   
 

LUCKY - de John Carroll Lynch - 2017 - Etats-Unis - 1h28 - VOSTF (anglais)
Locarno 2017 - Prix du Jury Œcuménique
Critiques : 1 2

dimanche 21 à 19h

et

mardi 23 à
18h30

 -o-o-

Lucky est un vieux cow-boy solitaire. Il fume, fait des mots croisés et déambule dans une petite ville perdue au milieu du désert. Il passe ses journées à refaire le monde avec les habitants du coin. Il se rebelle contre tout et surtout contre le temps qui passe. Ses 90 ans passés l'entraînent dans une véritable quête spirituelle et poétique...

« Lucky ne croit pas à l'existence de l'âme, mais ce film, voyage immobile et lumi¬neux en territoire américain de cinéma, en a une, incontestablement.»
Par Guillemette Odicino - Télérama

« Le respect et l'amour de John Carroll Lynch pour Stanton fait qu'on ne peut pas s'empêcher de regarder Lucky la larme à l'œil. »
Par Frédéric Foubert - Première

   

LE RIRE DE MADAME LIN (LAST LAUGH) - de Zhang Tao - 2017 - Hong-Kong, France, Chine - 1h22
Cannes 2017 - Sélection ACID
Critiques : 1

 -o-o-   lundi 22
17h30 et 21h00

Dans un village du Shandong, une vieille paysanne fait une chute. Immédiatement, ses enfants en profitent pour la déclarer inapte et l'inscrivent malgré elle dans un hospice. En attendant qu'une place se libère, la doyenne séjourne chez chacun de ses enfants, alors qu'aucun ne veut la prendre en charge. Elle voyage ainsi de famille en famille, tandis que son état de santé et ses rapports familiaux se dégradent. Un rire désespéré et maladif finit par poindre chez cette vieille femme délaissée...

«Un film tout en finesse et loin de tout pathos, pour dire le drame de la vieillesse et les relations familiales avec les vieux : dans la ligne d'Ozu, la force du minimalisme. »
Par Jean Serroy – Le Dauphiné Libéré

« Ce petit théâtre sociologique de la cruauté est l'un des plus beaux films qu'ait présenté cette année l'ACID à Cannes. »
Par Roland Hélié - Les Fiches du Cinéma

   

 

21e FESTIVAL CINEMA TELERAMA / AFCAE
24 AU 30 JANVIER

- CINEMA LA COUPOLE - LA GAUDE

PROGRAMME COMPLET ET GRILLE HORAIRE 

 

   

 

L'INTRUSA - de Leonardo Di Costanzo - 2017 - Italie - 1h35 - VOSTF (italien)
Cannes 2017 - Quinzaine des Réalisateurs
Critiques : 1 2 3

dimanche 28 à 19h

et

mardi 30 à
18h30

-o-o-

 

Naples. Aujourd'hui. Giovanna, travailleuse sociale combative de 60 ans, fait face à une criminalité omniprésente. Elle gère un centre qui s'occupe d'enfants défavorisés et offre ainsi une alternative à la domination mafieuse de la ville. Un jour, l'épouse d'un criminel impitoyable de la Camorra, la jeune Maria, en fuite avec ses deux enfants, se réfugie dans ce centre. Lorsqu'elle lui demande sa protection, Giovanna se retrouve confrontée, telle une Antigone moderne, à un dilemme moral qui menace de détruire son travail et sa vie...

« Un regard unique sur la face cachée d'une société décomposée, rongée par la délinquance et la peur, mais peut-être sauvée par le sourire des enfants. »
Par François Forestier 

« Un film doux-amer, simple et beau, où la Camorra est hors-champ mais l'humanité plein cadre. »
Par Clément Deleschaud – Les Fiches du Cinéma

   

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