10h00 - L'HEURE DU COURT METRAGE (tarif unique 4€)

Sélection 2011 - Les spectateurs décerneront le Prix du Public des 17èmes Rencontres

WASHDAYS
de Simon Neal -Durée 11 mn-2009
Meilleur Court Métrage - Rushes Soho Shorts Festival 2009

CHRONIQUES DE LA POISSE
de Osman Cerfon -Durée 6 mn-2011
Animation
Prix Canal+ Aide à la création Festival Annecy 2011

L'ACCORDEUR
de Olivier Treiner -Durée 13 mn-2011
Prix du Public et Prix de la jeunesse
Compétition Nationale du Festival de Clermont-Ferrand 2011

MR COK
de Franck Dion -Durée 10 mn-2009
Animation - Prix du public au Atlanta philosophy film festival 2009
Meilleur film d'animation 2D au Hyde tube festival 2009

DIMANCHES
de Valéry Rosiez -Durée 16 mn-2011
Prix découverte - Semaine de la critique Cannes 2011

SUIKER
de Jeroen Annokee -Durée 8 mn-2011
Prix du public - Compétition Internationale du Festival de Clermont-Ferrand 2011

12h00 - Rencontre apéritif à la Chapelle des Pénitents Blancs avec nos invités et annonce du 17ème Grand Prix du Public du Court Métrage 2011  

 

14h30 - EVENEMENT - LA GUERRE DES BOUTONS... A VENCE
film de Jacques DAROY (tarif unique 4€)

Film tourné en 1935 dans le pays Vençois, d'après un scénario de Jacques Maury, inspiré du livre de Louis Pergaud : «La guerre des boutons».

LA GUERRE DES GOSSES
(France - 1936 - Comédie dramatique - durée 1h27) la-guerre-des-gosses
Avec des Vençois mais aussi : Claude May, Jean Murat, Lucien Callamand, Saturnin Fabre, Serge Grave, Marcel Mouloudgi, Raymond Rognoni, Gabriel Farguette...
et un certain tout jeune Charles Aznavour...

Séparés par une haine ancestrale, deux petits villages du Midi voient leur population enfantine se livrer a la guerre tandis que l'institutrice du premier et le maire du second s'aiment.
Les amoureux parviennent a faire signer la paix, mais les adultes réunis au cours d'un banquet de réconciliation n'ont pas la sagesse des enfants.  

 

 

 

17h00 - Rencontre avec la réalisatrice Delphine GLEIZE

delphine-gleizeDiplômée de la Femis, Delphine Gleize remporte le César du Meilleur court métrage en 2000 pour «Sale battars». Habituée des sélections cannoises, elle présentera deux courts «Un château en Espagne» (1999) puis «Les Méduses» (2000) avant de concourir avec son premier long métrage «Carnages», dans la section Un Certain Regard en 2002.

Avec «L'Homme qui rêvait d'un enfant» (2007), la cinéaste revient sur un thème déjà abordé dans son film précédent : la place de l'enfant dans son rapport à l'adulte. Puis sur une proposition de Jean Rochefort, elle réalise «Cavaliers seuls», un documentaire sur la relation entre un jeune prodige et un ancien champion de saut d'obstacles. Par la suite, la réalisatrice met en scène une autre belle rencontre dans son dernier film de fiction «La Permission de minuit».

et présentation de son film

LA PERMISSION DE MINUIT la-permission-de-minuit
(France - 2011 - Drame - durée 1h50)
avec Vincent Lindon, Emmanuelle Devos, Caroline Proust...

C'est une amitié hors normes. David a 50 ans, Romain en a 13... David, professeur en dermatologie, fou de son métier, le soigne et l'opère depuis qu'il a 2 ans. Atteint d'une déficience génétique rare, Romain vit à l'écart de la lumière du jour. C'est «un enfant de la lune».

 

 

 

 

 

SOIREE DE CLOTURE des 17èmes RENCONTRES CULTURE ET CINEMA 

21h00 - Projection en avant-première du film de Olivier MARCHAL

LES LYONNAIS 
(France - 2011 - Policier - durée 1h42)
Avec Gérard Lanvin, Tchéky Karyo, Daniel Duval...

les-lyonnaisDe sa jeunesse passée dans la misère d'un camp de gitans, Edmond VIDAL, dit MOMON, a retenu le sens de la famille, une loyauté sans faille, et la fierté de ses origines.

La fiction mêle l'histoire réelle du gang des Lyonnais, à qui la police attribue jusqu'à trente-cinq braquages entre 1967 et 1974, et celle d'Edmond Vidal, «Truand attachant» avec ses «Codes d'éthique», souligne Yorick Kalbache, producteur exécutif. Cet homme, qui a grandi dans une famille de gitans à Décines, dans la banlieue est de Lyon, est aujourd'hui «Rangé des voitures» et très attaché à ses proches. Mais dans le film, il repasse de l'autre côté de la barrière pour aider son ami de toujours, Serge Suttel. «Ce n'est pas un récit à la gloire du banditisme, insiste Edgar Marie, co-scénariste. Cela vise à montrer qu'après le franchissement de la ligne jaune, la sentence, ce n'est pas la prison, mais le passé qui vous rattrape»

 

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